Cette manifestation scientifique, qui s’est déroulée à l’Université d’Angers, a réuni des spécialistes de renommée internationale autour de l’analyse des liens entre adolescence et les formes brèves. Les adolescents, des pré-adolescents aux jeunes adultes, ont été envisagés comme récepteurs, mais aussi comme producteurs de formes brèves.

Une recherche innovante
Si plusieurs travaux concernent l’imaginaire adolescent ainsi que les liens entre enfance et forme brèves, le rapport entre adolescence et formes brèves est resté peu étudié. Durant trois jours, les interventions ont permis d’étudier des typologies de formes brèves très diverses : narratives, musicales, audiovisuelles, graphiques (les adaptations littéraires, les blogs, les nouvelles, la poésie, les slogans, le graffiti, le rap etc.). L’accent a été porté sur la manière dont les adolescents reçoivent et s’emparent de ces formes brèves.
L’UA a rencontré Karima Thomas, organisatrice, à propos du colloque Formes brèves et adolescence : lire l’interview

